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Publié le par Nouvel Esprit

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Nouvel Esprit

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Homophobie et le sport !

Publié le par Nouvel Esprit

Sport: Il est temps d’en finir avec les insultes homophobes et sexistes!

Sport - Terrains de Jeux« Retour à l'accueil

 


Yaggeurs, yaggeuses, j’ai un cas de conscience pour cette chronique. Je sais que je vais prêcher des convaincu-e-s alors faites buzzer, ça finira bien par tomber sur quelqu’un que cela pourrait interpeller comme on dit.

Indignation. Voilà, c’est comme ça, mais je n’en peux plus, je craque beaucoup, là. J’aime le sport, j’aime la performance, j’aime beaucoup celles et ceux qui la font, qui la vivent. Dans cette chronique Terrains de Jeux, c’est un peu tout cela que j’aime transmettre et éventuellement partager avec vous… Cette semaine, j’aurais pu vous parler de Tiger Woods, l’immense golfeur qui met sa carrière entre parenthèses, d’Ophélie-Cyrielle Etienne qui a ouvert son palmarès en natation aux championnats d’Europe en petit bassin, de la coupe d’Europe de rugby, des handballeuses françaises aux championnats du monde, mais depuis le début de la semaine, mon indignation monte. J’aime le sport et j’en ai assez des amalgames.

Définition. Première leçon, il n’y a pas de sports efféminés et de sports virils, il n’y a que des sports. Répétez après moi: le sport, c’est de l’exercice réalisé individuellement ou collectivement. J’ai beau chercher, je ne trouve pas de définition sur le sport qui évoque un monde où il faut en avoir, ne pas se faire marcher dessus. Le sport, mais si, vous savez, un monde où l’on parle d’effort, de volonté, de fair play.

“Certains faisaient du patinage artistique ce soir”. Donc, quand des footballeurs font un mauvais match, ils ont fait du patinage artistique (lire notre article). Allons bon! Et le pire c’est qu’on aille voir des patineurs qui s’en défendent, mais se défendent de quoi? D’être homosexuels. Et que beaucoup sont tombés dans le panneau. Répétez après moi: être homo n’est pas dégradant.

“Elle joue comme un mec”. Non, non, trois fois non. Les filles jouent comme des filles. Comme des filles. Car voilà, il s’est passé un phénomène extraordinaire dans le monde du sport: d’un coup, on s’est rendu compte que les femmes participaient aussi aux Jeux olympiques, aux championnats du monde, et incroyable, qu’une partie de l’humanité était de sexe féminin et que certaines faisaient du sport. Les équipementiers se sont adaptés et ont proposés des chaussures de sport d’abord ou encore des vêtements.

Le sport féminin est devenu un vecteur fort, une belle image pour vendre des produits. Un peu mieux payées, puis carrément bien payées, les sportives se sont entraînées un peu plus, passant d’un peu à beaucoup. Et ben oui, elles sont devenues plus fortes à la force de l’entraînement. Ce sont des stars. Homos, hétéros? Elles tapent, courent, frappent, filent plus vite qu’avant. Répétez après moi: les filles font du sport et elles le font bien.

“Oh hisse, enculé”. Dans les stades, on entend ce cri de supporters quand le gardien shoote pour remettre la balle en jeu. Répétez après moi: tirer dans un ballon ne signifie pas que l’on va enculer, ou se faire enculer. On tire juste dans un ballon. Cela étant écrit, répétez après moi, enculer est un acte sexuel, rien de plus, rien de moins.

“Un match de gonzesses”. Alors, vous n’avez jamais vu le sport pratiqué par des filles. Extrême et intense. Et depuis quand être traité de fille est une insulte? Répétez après moi: on peut aimer le sport sans être homophobe, idiot, misogyne, imbécile. Et croyez-moi, nous sommes très très nombreux. Il y a de l’espoir. Bon week-end

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Kiss-in contre l’homophobie: la vidéo de l’action parisienne du 12 décembre

Publié le par Nouvel Esprit




Ce samedi 12 décembre, à Paris, rue Caumartin, en plein quartier des grands magasins (Printemps, Citadium, etc.) et à l’heure du rush pour le shopping de Noël, quelques dizaines de personnes ont bravé le froid pour une nouvelle édition du kiss-in national contre l’homophobie (des actions similaires devaient avoir lieu dans 17 autres villes de France, mais aussi en Belgique, en Suisse, au Canada et en Australie).

À 16 heures, et pendant cinq minutes, des gays, des lesbiennes et leurs ami-e-s se sont embrassé-e-s en public pour dire non à l’homophobie. Yagg était là. Voici notre reportage (ci-dessus et ici).

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C'était sur Yagg.com !

Publié le par Nouvel Esprit

Posté sur la communauté: “Enfance perdue”, ou comment un père bisexuel en couple gay voit grandir sa fille, par 14141

Pour son premier post sur la communauté, 14141, déjà blogueur par ailleurs, aborde avec humour un sujet très personnel: comment voit-on sa fille grandir quand on est un père bi en couple gay?

“Enfance perdue”, par 14141 Je me suis toujours demandé comment ma fille m’annoncerait qu’elle devenait femme, qu’elle avait ses premières règles. J’avais tout imaginé: par confidence, par une personne tierce, le paquet de serviettes hygiéniques entamé, des tâches sur ses draps… mais j’étais loin de me douter de la manière dont cette information capitale allait me tomber dessus! Je redoutais, je vous l’avoue, ce moment. Comment, moi, un homme bisexuel et père élevant sa fille avec un homosexuel, pourrais-je me dépatouiller de cette histoire de femme?

La première étape fut l’achat des serviettes hygiéniques. Il y a un peu plus de six mois, ma fille s’est plainte de douleurs au ventre. Mon sang n’a fait qu’un tour et je m’aperçus avec frayeur que je n’avais rien prévu pour cette inévitable épreuve. J’embarque avec moi mon p’tit Zèbre, direction, de toute urgence, un supermarché. À part les pubs, à la télévision, mon savoir sur les moyens modernes, pour éviter les pertes, était très restreint et devant ces étagères remplies de ces paquets de toutes les couleurs, je me suis rêvé un instant être femme. Que devais-je acheter à ma fille? Les mêmes que pour moi? Quelle marque ma mère m’avait donnée la première fois? Mais avec tous les efforts possibles et inimaginables, je ne pourrais jamais remplacer une mère devant ce rayonnage. Je me sentais vraiment merdeux, désespéré, je voulais presque appeler Céline pour qu’elle puisse me conseiller. Tête de mule comme je suis, je ne le fis pas et j’ai eu la bonne idée de me tourner plutôt vers mon p’tit Zèbre!

Comme vous le savez certainement, mon p’tit Zèbre ne sait pas comment est faite une femme. Il n’a jamais éprouvé la moindre attirance sexuelle pour le sexe opposé et de ce fait, ne connaît pas certaines choses; mais je comptais surtout sur le fait qu’il a toujours eu de grandes amitiés féminines et qu’il pouvait ainsi me révéler des secrets que seules les femmes se font entre elles.

- Franchement, j’en sais pas plus que toi. Je suis désolé, me dit-il sincèrement.
- On ne va pas y arriver. Tampons ou serviettes, d’après toi?
- Ben, je pencherais plus pour serviettes pour la première fois. Se mettre un corps étranger dans le sexe, à 13 ans, ça doit faire bizarre. Quoique, je me souviens qu’à 14, j’avais subtilisé une carotte dans le réfrigérateur de mon père et l’avais utilisée… puis après, je l’avais lavée et remise à sa place.
- Et vous l’avez mangée???

- Ben, oui, je l’avais bien lavée et puis mon père l’a épluchée, alors…
- Moins fort, dis-je! On est quand même dans un supermarché! C’est vraiment crade ton histoire. Bon, optons pour les serviettes!
- Ok, les serviettes! Mais putain, la vache, y’en a des tonnes et totalement différentes les unes des autres! ….! C’est quoi l’indice d’absorption?
- J’imagine que c’est un indicateur. Elles doivent être calibrées pour recevoir une certaine dose de sang précise. Je sais que les règles sont plus ou moins abondantes. Quand je travaillais comme aide médico-psychologique, il m’arrivait fréquemment de changer des patientes déficientes mentales. Je me souviens de l’une d’entre elles qui avait des pertes énormes. La matin, sa serviette débordait, il y en avait partout… et ça sentait super fort!
- Mais c’est dégueulasse ton truc!!! Arrête ou je vais vomir, dit-il, le teint blême.
- Ça ne nous dit pas ce que l’on doit prendre.
- Et si on demandait à cette dame? proposa naïvement mon p’tit Zèbre.
- Non, il est hors de question! La honte… je ne peux pas.
- Attends, je vais lui demander

Je n’ai pas eu le temps de le retenir que le voilà déjà en train de “tchatcher” avec une jolie femme, la trentaine, avec un voile sur la tête!!! Mon dieu! Il n’avait pas vu qu’elle n’était pas toute seule! Une femme plus vieille, moins jolie, bien portante, coiffée elle aussi d’un voile, se mêle à la conversation. Je m’approche discrètement.

- Oui, c’est lui le père, sort mon p’tit Zèbre l’air triomphant! Approche, elles m’expliquent les différences.
- Bonjour, je suis vraiment gêné, dis-je sincèrement.
- Non, ne vous inquiétez pas, dit la jolie femme à la tête voilée. Je disais à votre ami que le mieux pour elle serait la serviette. Celle-ci ou celle-là, me montre-t-elle du doigt. Elles sont un peu plus chères mais de bonne qualité.

Et c’est ainsi que nous avons acheté pour la première fois des serviettes hygiéniques à ma fille. En rentrant de courses, je me rendis dans sa chambre et lui expliquai que, peut-être, dans les jours à venir, son corps allait se transformer… bref, tout un blablabla pour la rassurer et lui dire que j’étais là en cas de coup dur, et puis je lui tendis le paquet de serviettes.

Je n’entendis plus parler de mal de ventre pendant toute une période. Je décidai donc de prospecter dans la réserve pour savoir si elle utilisait ses serviettes. Le paquet restait non utilisé. J’ai appris récemment par ma mère que ma fille s’inquiétait de l’absence de ses règles. Aussi pris-je rendez-vous avec un gynécologue. Et puis hier, une semaine après la réception du jugement, je rentre au “Terrier” fatigué par une journée harassante. Ma fille m’accueille:

- Papa, c’est quand que tu vas faire les courses?
- Je ne sais pas trop, j’y suis allé hier. Jeudi ou vendredi, pourquoi tu as encore besoin de quelque chose?
- Ben, en fait il me faudrait des tampons pour demain, j’ai entraînement piscine! Il me faut des minis ou des spéciaux jeune fille.
- Pourquoi? T’as tes règles? dis-je avec mon air de tomber des nues.
- Papa! Si je te demande des tampons… j’vais pas te faire un dessin!
- Mais tu sauras le mettre au moins???
- Papa! Ne t’inquiète pas, je sais tout ce qu’une jeune fille doit savoir. Je veux juste un peu d’argent pour aller m’en acheter; ce sera plus simple, je crois.

Je sors mon porte-monnaie, un billet de 20€ et la vois partir.

Elle était encore une enfant ce matin, maintenant son corps en a décidé autrement. Elle restera malgré tout mon enfant, celle qui embellit chaque jour de ma vie.

Je sais qu’elle partira, un jour, pour vivre sa vie, une vie de femme.

...

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Journée du Premier Décembre. Association AIDES

Publié le par Nouvel Esprit

Un sac à dos, des mousquetons, des cordes de rappel, des blousons chauds, un ruban rouge de onze mètres de long, de l'énergie à revendre et une statue, celle de la République, à gravir. C'était ce matin à Paris, à l'initiative de AIDES, à l'occasion de la Journée mondiale de lutte contre le sida. Pour la première fois de son histoire, la statue de la République s'est ornée d'un ruban rouge : une image, mais surtout un symbole et un message. Reportage.


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Elle est belle sous le soleil la statue de la République, spécialement avec le long ruban rouge qui l'orne. En moins d'une demi-heure, deux grimpeurs experts ont gravi les quelque 25 mètres de ce monument pour y déployer un ruban rouge autour d'une des statues les plus emblématiques de Paris. Il est 10 heures et demi. Dans d'autres villes comme Strasbourg, Marseille, Montpellier, Rennes, Reims, Perpignan… des militants de AIDES ont fait de même ornant des statues célèbre d'un ruban rouge. A Paris, une foule de photographes et des caméras de télévision immortalisent cet événement. Au bas de l'édifice de nombreux militants, tous de rouge vêtus, sont venus soutenir les grimpeurs et participer à un flash mob. Des cris de joie, des encouragements, un slogan : " Un traitement pour tous, tout de suite, maintenant !", une circulation bloquée autour de l'édifice, une foule qui se fige pour dénoncer… tout cela frappe. Tout comme frappe l'énorme ruban qui orne cette masse de bronze de 9 mètres 50 de haut. C'est une très belle image, sans doute la plus forte en France, de ce 1er décembre 2009. C'est un événement parce que jamais cette statue n'a connu cela depuis qu'elle a été érigée au XIXème siècle.

Mais derrière la beauté de l'image, la photo pour l'histoire, il y a d'abord un message, un symbole et une critique. Le message, c'est que nous ne devons pas "rester de marbre face au sida ! " "On ne peut pas considérer que le sida est une affaire réglée. Il est plus que jamais temps de se mobiliser parce qu'on sait aujourd'hui que nous avons les moyens de contrer l'épidémie voire de l'éradiquer à l'horizon de quelques décennies, ce qui n'était pas imaginable, il y a quelques années. Ce n'est surtout pas le moment de baisser les bras", explique Olivier Denoue, directeur général délégué de AIDES. La chanteuse Ophélie Winter, venue comme militante de l'association, ne dit pas autre chose : "Il faut réveiller les gens et qu'on arrête collectivement de s'endormir. Cela fait 25 ans que la lutte a commencé et quelques années que cette lutte marque le pas. Et si on est obligé aujourd'hui de venir manifester et d'accrocher des rubans rouges à tous les monuments pour que les gens ne restent plus de marbre face au sida, on le fait et on continuera de le faire. Si on remonte dix ans en arrière, la prévention était plus forte. On parlait davantage du sida. Aujourd'hui, il n'y a qu'une émission, une fois par an, le Sidaction… c'est loin d'être suffisant. Il est vraiment temps qu'on se réveille."
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Le symbole, c'est la République. Une façon de dire que la réponse face à l'épidémie de VIH ne pourra réussir que collectivement… à commencer dans notre propre pays. C'est enfin une critique parce que la République, c'est l'Etat qui l'incarne et ce dernier est, en matière de lutte contre le sida et, quoi qu'il en dise, défaillant. "Nous avons peur d'un désengagement des principaux pays du Nord, explique Olivier Denoue. Ces derniers ont pris des engagements importants pour soutenir la lutte contre le sida au niveau international notamment via le Fonds mondial, mais avec la crise économique, on voit que les Etats sont de plus en plus frileux à soutenir la lutte contre le sida et commencent à rogner sur les engagements. C'est le cas de la France où on sent bien que les engagements ne sont pas garantis alors qu'il y a eu des promesses fermes et cela alors même que la France a, jusqu'à présent, été un moteur et même leader sur cette question. Nous comptons beaucoup sur l'exemplarité de la France pour créer une dynamique favorable au financement international du Fonds mondial et des traitements pour les pays du Sud." A cela, il y a de très bonnes raisons. En 2009, 56 % des personnes vivant avec le VIH dans le monde n'ont pas d'accès aux traitements. "C'est un vrai scandale, énonce Olivier Denoue. Et ce d'autant plus que les moyens financiers et thérapeutiques de soigner tout le monde existent. Or ce n'est pas ce qui se passe, ce qui fait qu'il y a encore énormément de décès liés au sida dans le monde entier." Comme l'explique AIDES, on a la solution "pour arrêter l'épidémie, il faut traiter 100 % des malades."

 

 

En 2005, les dirigeants du G8 s'étaient engagés, lors du sommet de Gleaneagles, à atteindre l'accès universel d'ici 2010. A un mois de 2010, on est très loin du compte. Ainsi sur 9,5 millions de personnes vivants avec le VIH en attente de traitement, seulement quatre millions sont traitées, c'est moins de la moitié. Aujourd'hui, chacun sait que lorsque l'ensemble des personnes malades sera traité "la transmission s'arrêtera, car le traitement diminue massivement la transmissibilité." C'est en étant solidaire aujourd'hui, qu'on évitera des milliers de morts demain. Cette solidarité est pourtant aujourd'hui sérieusement entamée.

 

Président de Positive-Generation, une association communautaire de lutte contre le sida, Fogué Foguito est particulièrement bien placé pour le savoir. Militant, spécialiste du plaidoyer pour l'accès au traitement, membre de la délégation de la société civile du Fonds mondial, Fogué connaît bien les conséquences de la politique actuellement conduite par les pays du Nord. "Je dois d'abord préciser que les financements que nous avons obtenus jusqu'à présent ne sont pas suffisants. Alors que 180 000 personnes avaient besoin d'un traitement, nos financements ne nous ont permis que d'aider 74 000 personnes. Il y a donc des besoins qui ne sont pas satisfaits et la situation s'aggrave désormais, explique Fogué Foguito. Et je parle du Cameroun qui n'est pas le pays dans la pire des situations, car notre pays est cité en exemple concernant la décentralisation de la prise en charge et de l'accès aux traitements. Imaginez ce que cela peut donner dans des pays qui n'ont pas pu mettre en place un accès aux traitements si structuré et si décentralisé. La baisse des financements touchent tous les secteurs et concernent directement l'application de nos programmes. Au Cameroun, nous avons été contraints d'arrêter, il a trois ou quatre mois, le plan national d'appui aux enfants orphelins du sida. Nous avons dû aussi arrêter le programme des agents de relais communautaires. Il s'agissait de personnes qui accompagnaient les malades et qui effectuaient des visites à domicile. Ces deux programmes ont été stoppés parce qu'il a fallu consacré le peu d'argent disponible à l'achat de médicaments."

 

 

Récemment, les associations françaises ont compris que le Fonds mondial allait sans doute pouvoir maintenir ses financements pour que les personnes sous traitements puissent toujours en bénéficier. En revanche, d'autres personnes, dont l'état de santé justifierait pourtant une mise sous traitement, ne pourront pas l'obtenir. Une nouvelle qui stupéfie lorsqu'on sait que 2,7 millions de personnes ont été contaminées au cours des douze derniers mois. Fogué est, lui, très pessimiste : "Nous pensons que si la situation n'évolue pas favorablement et si aucune solution n'est trouvée, ce sera la catastrophe. Dans le contexte actuel, je ne donne pas un an avant que l'on revienne à la situation d'il y a huit ans avant la création du Fonds mondial."


Cette crainte, nombreux sont les pays qui la partagent. Cette situation, nombreux sont les militants qui la dénoncent. Devant de telles menaces… qui peut rester de marbre ?

 photos : AIDES dont Richard Stranz, Stéphane Blot, Emmanuel Trénado

 

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Apero Gay de AIDES. Décembre.

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Le Gay Tea Dance du Dimanche ! Une premiere à Besancon.

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